« L’échinacée, plante protectrice »
« L’échinacée, plante protectrice »
Elle est utile pour prévenir ou traiter les petites infections de l’hiver.
Qu’est-ce que c’est ?
Cette plante aux délicates fleurs roses est originaire d’Amérique du nord. Ses vertus thérapeutiques étaient déjà connues des Amérindiens qui l’utilisait en application locale pour favoriser la cicatrisation des plaies, notamment en cas de morsures de serpent. Trois espèces sont considérées comme médicinales selon la pharmacopée française : echinacea angustifolia, purpurea et pallida.
Elles contiennent notamment des alcaloïdes, de l’acide cichorique et des dérivés d’acide caféique susceptibles de renforcer l’organisme.
Ça soigne quoi ?
Le rhume… et les petites infections respiratoires des voies supérieures. In vitro, les extraits de plantes ont montré une action anti-virale et antibactérienne.
L’immunité. Lors de test in vitro et chez la souris, certains de ses composés – acide cichorique, polysaccharide, … – ont stimulé l’activité de globules blancs impliqués dans la destruction, l’ingestion et la digestion de micro-organismes infectieux. La plante s’avère donc intéresssante en hiver, à la fois en prévention et en traitement.
Les petites plaies. Non seulement elle bloque la prolifération des bactéries mais grâce à l’échinacoside, contenu dans la partie haute de ses racines, elle protège le collagène de sa dégradation par les radicaux libres ce qui entraîne une meilleure cicatrisation. Utile en complément d’un traitement d’une plaie superficielle.
Pour lire l’intégralité de la plante du mois, retrouvez l’article complet dans Prima novembre 2014.
Bonne lecture !